DESAFINADO – OCTOBRE 2012
Désaccordé, dépareillé, déséquilibré, éclectique, inventaire à la Prévert, fourmillement, c’est tout cela que décrit le qualificatif desafinado au Brésil. C’est aussi le titre d’un standard du maître de la bossa nova Tom Jobim.
Desafinado, tantôt violent, tantôt alangui, mais toujours vivant, jamais factice, c’est ainsi que le Brésil m’est apparu et c’est comme tel que je souhaite l’exsuder par une cinquantaine de photographies dont seulement vingt sont visibles ci-après (avec évidemment ce fond musical) . Les autres sont visibles dans le cadre d’expositions à venir ou dans le livre à paraître à l’automne 2013 (Éloge de l’adolescence éternelle). Les adeptes de la couleur et du son se précipiteront en salle pour voir Fréquence Brésil