15 juin 2020
La Havane – octobre 2019
En 2019, La Havane fêtait ses 500 ans, les 60 ans de la Révolution castriste et c’était dix ans après mon premier reportage. Sur ce journal seront publiées sur dix semaines quatre photographies à chaque fois qui ne feront pas partie de l’exposition future et qui ne figureront pas dans le livre à paraître.
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Dévotions santeristes du soir
Depuis plus de 30 ans, Laurent Jeannin parcourt le monde à la découverte de sa plus grande richesse : ses peuples. Il fait souvent le grand écart entre l'Amérique du sud et l'extrême orient sans pour autant négliger l'Europe et bien sûr la France. La photographie est son mode d'expression favori, qu'il conjugue sous forme de diaporamas en fondu enchaîné et sous forme de photographies noir et blanc dont il assure lui-même le traitement. "L'acte photographique n'a de sens et d'intérêt que parce qu'il me permet de comprendre le monde, ni plus ni moins. Photographier ce qu'on pense rend aveugle, penser à ce qu'on photographie rend borgne. Alors je préfère me laisser surprendre par la vie : le hasard compose, je dispose."
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 - La Havane.
La Havane - octobre 2019
En 2019, La Havane fêtait ses 500 ans, les 60 ans de la Révolution castriste et c'était dix ans après mon premier reportage. Sur ce journal seront publiées sur dix semaines quatre photographies à chaque fois qui ne feront ...&media=http://diaventure.fr/files/2020/06/27.jpg){kind=link}
19 juin 2020 à 16 04 53 06536
Laurent,
Comme à l’habitude les photos sont toujours aussi magnifiques.Elles portent à l’évasion et à la curiosité.
A Cuba, tout est scrupuleusement contrôlé par le pouvoir. les cubains subissent beaucoup de restrictions, ils sont soumis à un régime totalitaire « le Parti Unique ». Des défenseurs de l’ordre sont partout dans la rue. Un cubain risque gros s’il agresse une personne étrangère à leur pays.
malgré les pénuries du quotidien, ils savent surmonter leurs problèmes par la débrouillardise et l’invento. Afin d’améliorer leur vie au quotidien, ils comptent énormément sur le touriste.
Cette pauvreté entraîne une prolifération de « jineretas », hommes ou femmes.Ils essaient uniquement de survivre et d’améliorer leur existence; pour cela les touristes restent leur proie essentielle et favorite.
Non seulement La Havane est l’une des destinations les plus prisées par les étudiants pour suivre des études de grande qualité en médecine mais également Cuba est un pays très touristique, des architectures magnifiques,ces multiples activités culturelles et musicales mais aussi avec son paradis de belles voitures américaines des années 50(On pourrait croire être revenu dans le temps). Ces merveilles à 4 roues font partie de leur patrimoine. Ce pays détenant un aussi grand nombre de voitures rares et de très grandes valeurs ferait le bonheur de collectionneurs.
Chacun connaît Cuba pour les sons de ses musiques populaires diverses (le son, la salsa, le fillin, le cha cha cha,le jazz africain, le mambo, la rumba, pour ne citer que ceux-là). La musique cubaine est le résultat d’un métissage. Cette tradition musicale est l’une des rares choses que ce peuple n’a pas été obligé de laisser derrière lui; c’est une » liberté d’expression »qui se ressent à travers un chant, une musique, un rythme.C’et un moment d’évasion, un moment de partage et de rencontre au quotidien. La musique fait partie intégrante de leur vie.
Vivement la parution du livre et de l’exposition.
christine
2 juillet 2020 à 18 06 46 07467
Êtes-vous Cubaine Christine ???… Ou bien vous contentez-vous de redire les banalités et inepties que l’on peut lire ici et là (on dirait du Wiki) ?
J’opterais pour la seconde hypothèse puisque TOUT ce que vous dites est faux !!
2 juillet 2020 à 21 09 28 07287
Le vrai ou le faux est une question de point de vue, je suppose. Pour ce qui me concerne, ce que j’ai pu écrire il y a dix ans est grandement invalidé aujourd’hui… C’est tout l’intérêt de me repencher sur le sujet.
De même, un Cubain vivant hors de Cuba aura un sentiment bien différent de celui d’un Cubain vivant à Cuba. Pour les nostalgiques de Fidel, l’époque actuelle est certainement une souffrance ; pour ses détracteurs, elle est pleine de promesses.
Depuis un écran, Cuba présente encore un autre visage, dépendant de la subjectivité de ceux qui diffusent des informations, vérifiées ou non.
À la veille de publier un nouveau livre, en dépit de mes multiples rencontres, de toutes les photographies que j’ai rapportées, Cuba demeure pour moi une énigme…
3 juillet 2020 à 14 02 38 07387
Terry, je ne vous dirai que ceci :
j’ai des relations cubaines dans mon entourage…
Christine