26 janvier 2017
Jérusalem-est
On peut s’extasier sur les sites touristiques, faire des ego-portraits devant, collectionner les cartes postales… On peut aussi s’interroger sur la situation politico-religieuse, son intangibilité historique. Partager, séparer, opposer… A qui cela profite-t-il ? Quelques éclairages vous seront présentés à partir des bonnes photographies de l’exposition à venir…
Depuis plus de 30 ans, Laurent Jeannin parcourt le monde à la découverte de sa plus grande richesse : ses peuples. Il fait souvent le grand écart entre l'Amérique du sud et l'extrême orient sans pour autant négliger l'Europe et bien sûr la France. La photographie est son mode d'expression favori, qu'il conjugue sous forme de diaporamas en fondu enchaîné et sous forme de photographies noir et blanc dont il assure lui-même le traitement. "L'acte photographique n'a de sens et d'intérêt que parce qu'il me permet de comprendre le monde, ni plus ni moins. Photographier ce qu'on pense rend aveugle, penser à ce qu'on photographie rend borgne. Alors je préfère me laisser surprendre par la vie : le hasard compose, je dispose."
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Question d’actualité…
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Un regard décalé sur les années Covid à retrouver dans la boutique Diaventure ou chez votre libraire.
27 janvier 2017 à 15 03 59 01591
Atmosphère spéciale, lourde, mais peut-être que je regarde ces photos avec la vision des medias en arrière-plan…
28 janvier 2017 à 13 01 17 01171
La photo d’en-tête a l’air banal, presque une carte postale. Mais le premier plan qui semble être un grand cimetière sur fond de Jérusalem en dit beaucoup quand on connaît l’histoire… Dommage qu’elle ne reste qu’à l’écran
28 janvier 2017 à 13 01 20 01201
Merci. Avec la vraie exposition, j’espère aller au-delà des apparences.